En empaillant de vieux vêtements bourrés de paille et cousus ensemble (Les Empaillés, 2003-2015) , elle compose un corps collectif autour d’une oeuvre participative, où les participants se frottent et rentrent en contact, entrent en matière avec la sculpture, redonnant vie à des formes inertes en leur insufflant gestes et mouvements chorégraphiés.